Les escaliers, montant, descendant vers des rues, des sentiers si rustiques, au fin fond desquels un angle vient entre-caché une petite place à moitié là vêtue, qui se dessine, se projette sans que l'ombre d'une pensée, d'un dessein clair-obscur ne vienne perturber... Là, à la nuit tombante, les escaliers se fondent dans Paris, se Paris si charmant, si unique, si entrecoupé de bonheur et de rêves...
Là, seul, menant en haut, d'une tour, d'un mont, d'une butte autour de laquelle une flopée entière de cafés et de minaudières sont nichés au cœur même d'un village que nul ne peut ignorer, oublier ou éteindre. Les escaliers parisiens nous emmènent, nous font jaillir de longs flots si typique, si connus, méconnus... Là, jouxtant un endroit souvent paisible aux abords des lampadaires vêtus de leurs jaune-orangée, ils nous convis au cœur de la ville, d'endroits, qui, en une foule d'images et de liens si présents nous entrainent ailleurs...
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