mercredi 14 mai 2014

Les jardins, les petits cafés du 4e.....
















Les jardins du 4e sont blottis là, éloignés et si proche, s'apparentent à un chemin romantique, un chemin bordés d'espace immatériel que le temps, les ans n'altèrera pas...
Comme berçés, langoureux, composés, ils viennent s'accrocher là, au bout d'une pensée, d'une branche solide au travers de laquelle il est possible de deviner la raison pour laquelle ils sont nés....
Raison du cœur, de l'image, étatique ou floraison intérieure, ils vivent là, à deux pas de chez nous, installés entre la place des Vosges et Beaubourg, non loin de ce que fût et est le maître mot de la ville....

Entrechoqués ça et là de petits cafés jouxtant leurs abords, ces jardins leurs ouvrent les bras,  leurs laissent exprimer leurs valeurs rouge, bleu, rose... Décorés comme le fruit mur de nos racines Française sans lesquelles, sans laquelle nous ne pourrions vivre, un parfum sucré aux saveurs romantique vient, d'un seul coup d'un seul en une milliseconde à peine, bouleversé le confins de nos âmes.
 A peine franchi, ce lieu, suspendu aux jardins qui lui fait face, laisse place à la rêverie, à des bouquets de mille choses, convit le promeneur à venir, le temps d'un café, d'une limonade ou d'une bière, déguster les charmes d'un Paris à la Française qui sait et qui saura toujours éveiller les âmes passantes....


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Quelques anciens bâtiments de Paris



























Le jardin médicinal du quartier Saint-Victor

Guy de la Brosse, botaniste, médecin de Louis XIII, est un homme particulièrement passionnant, par l'élan subversif qu'il donne aux connaissances botaniques de son temps. Lié à l'environnement libertin, notamment à la célèbre Tétrade, par des gettins, avec patience, énergie et soutien en compagnie de Richelieu, ils créent un jardin de plantes médicinales sous le patronage royal (les édits de 1626 et 1635 en sont la naissance.


La pompe à eau de la Samaritaine

La Samaritaine était le nom d'une pompe à eau située sur le pont Neuf dont l'existence remontait à Henri IV, XVIIe siècle, qui en demanda les plans au Flamand Jean Lintlaër. Ce fut la première machine élévatrice d'eau construite dans Paris pour alimenter le quartier du Louvre et des Tuileries. La Samaritaine, dont le nom inspiré des évangiles, sera repris par le magasin général fermé en juin 2005, est la première machine élévatrice à eau de Paris. Elle fut reconstruite par Robert de Cotte entre 1712 et 1719, puis rénovée par Soufflot et Gabriel, elle sera détruite en 1813. Cette pompe était décorée d'une représentation de l’épisode évoquant la rencontre entre Jésus et la Samaritaine au Puits de Jacob (relaté dans l’Évangile selon Jean) sculptées par Bernard et René Frémin (1672-1744). Le tout était surmontée d'une horloge munie d'un jacquemart, puis plus tard d'un carillon.
Ernest Cognacq aurait installé sa première échoppe dans la corbeille du pont Neuf à l'emplacement même de l'ancienne pompe, démolie en 1813. Le nom du magasin est parfois abrégé en La Samar.


Le magasin Samaritaine

Le magasin est fondé en 1869 par Ernest Cognacq qui est originaire de l'Île de Ré, son épouse Marie-Louise Jay est la première vendeuse du rayon costume au Bon Marché. Ernest Cognacq a commencé à vendre des cravates en parapluie sur le Pont-Neuf, puis s'est fait entendre avec un petit café qu'il fréquentait rue de la Monnaie, pour récupérer une pièce annexe, non pas utiliser, et faire une petite entreprise. Le couple marié, ayant convolé, décide d'agrandir son magasin, qui, en plein essor, s'agrandit et donne naissance en 1900 aux Grands Magasins.
Inspiré des méthodes commerciales d'Aristide Boucicaut du Bon Marché, Ernest Cognacq organise son magasin en rayon de magasin géré par de véritables petits employeurs responsables et autonomes.





Par acquisition d'immeubles à proximité de son magasin, il agrandit régulièrement son magasin. Dans le quartier, les blocs étant entièrement revalorisés ou progressivement reconstruits de 1883 à 1933, notamment entre 1903 et 1907 par l'architecte Frantz Jourdain qui applique les principes de l'Art nouveau, ces agrandissements conduisent en 1933 au grand magasin de dix étages et 48000 m2, réalisé dans un style Art Déco typique par l'architecte Henri Sauvage. Le magasin n ° 2 dans son intégralité, ainsi que les toitures et façades du magasin n ° 3, sont désormais inscrits aux monuments historiques, par arrêté du 25 juillet 1990.
En proie au déficit des années 1990, sa surface est réduite. Le 13 février 1997, la chambre sociale de la Cour de cassation a rejeté le pourvoi du magasin, qui conteste la réintégration d'un salarié en raison de l'annulation du plan social ayant conduit à son licenciement.

La Samaritaine est rachetée en 2001 par le groupe LVMH qui avait précédemment racheté le Bon Marché. Le 15 juin 2005, officiellement pour cause de mise en conformité du bâtiment aux normes modernes de sécurité de six ans, mais finalement, pour des raisons de restructuration, comme le pensaient les syndicats, le magasin est fermé pour une longue période.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Samaritaine




La pompe du Pont-Neuf










les fontaines de paris













http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_fontaines_de_Paris




La pépinière du Roule

À partir de 1640, l'espace compris aujourd'hui entre les rues du Colisée et de Berri, l'avenue des Champs-Élysées et la rue du Faubourg-Saint-Honoré fut occupé par la pépinière royale, qui fournissait les résidences royales en arbres, arbustes et fleurs. Elle fut désaffectée sous la Régence avec l'idée d'y construire le nouvel hôtel des Monnaies.
Une nouvelle pépinière, dite pépinière du Roule, fut créée en 1720 au nord du Grand Égout, dans un rectangle délimité par les actuelles rues de Courcelles à l'ouest et La Boétie à l'est, l'angle nord-est de ce rectangle se situant à peu près au niveau de l'actuelle place Saint-Augustin. Cette seconde pépinière fut désaffectée sous la Révolution française et supprimée en 1826.
Le directeur des Pépinières du Roi avait son logement dans une maison reconstruite en 1763 et qui était séparée de la pépinière par l'actuelle rue de Courcelles. Son premier occupant fut l'abbé Nolin, chanoine de Saint-Marcel. À partir de 1806, elle était habitée par Louis Marie Aubert Du Petit-Thouars (1758-1831), frère de l'amiral Du Petit-Thouars.
Le chemin des Pépinières, indiqué dès 1555, qui permettait de se rendre aux pépinières royales, allait à l'origine jusqu'à l'église Saint-Philippe-du-Roule. On l'appela ensuite chemin de la Pépinière à la Pologne[1]. Il fut élargi et transformé en rue en 1782. En 1868, la partie située entre la place Saint-Augustin et la place Chassaigne-Goyon fut rebaptisée rue Abbatucci (aujourd'hui rue La Boétie).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_de_la_P%C3%A9pini%C3%A8re





L'ancien palais Brion

Aujourd'hui l'aile droite du site du palais royal face au conseil d'état, Palais Brion, un pavillon séparé se tenant le long de la rue Richelieu, au à l'ouest du Palais royal, avait été acheté par Louis XIV des héritiers du cardinal de Richelieu, Louis l'a fait relier au Palais royal. C'était dans le Palais Brion que Louis recevait sa maîtresse Louise de la Vallière, tandis que son histoire avec madame de montespan était toujours tenue secrète.
Plus tard, la collection royale d'antiquités a été installée au Palais Brion, sous le soin de l'historien de la cour de critique et de fonctionnaire d'art André Félibien qui avait été nommé en 1673.


http://www.conseil-etat.fr




Prison Saint-Lazare, monument classé:

Ancienne prison Saint-Lazare, devenue hôpital Saint-Lazare (Paris 75010), date de construction 1ère moitié XIXe siècle.

Petite histoire:
Enclos et prison (de)

Léproserie fondée à Paris au début du XII° siècle et dotée rapidement de terrains considérables; en 1632, elle fut cédée aux prêtres de la Mission, sous le vocable de congrégation de Saint-Lazare (saint Vincent de Paul y prêcha et y mourut). Prison sous la Terreur. St Lazare vit ses terrains lotis après la Révolution et devint une prison de femme. Elle a été démolie en 1940.



Hôtel des monnaies, enceinte de Paris, monument classé:

Date de construction,4e quart XIIe siècle et 1er quart XIIIe siècle.





Passage du commerce Saint-André, enceinte de Paris, monument classé:


Ouvert en 1735, le passage du commerce Saint-André, reliait la rue st-André des Arts à la rue de l'ancienne comédie. Il fut prolongé en 1776 vers la rue des boucheries, à l'emplacement du trottoir Sud du Bd Saint-Germain dont le percement amputa son parcours. Son tracé est celui du fossé de l'enceinte de Paris (Philippe Auguste); la base d'une tour subsiste dans le magasin du n°4. Le passage conserve le souvenir de l'imprimerie de Marat et de la guillotine de Schmidt.
Bastion n° 1 des anciennes fortifications date de construction  2e quart XIXe siècle





Tour Jean sans Peur, enceinte de Paris monument classé:


Tour jean sans peur (enceinte de paris), adresse, 20, rue Etienne-Marcel:
Qui veut chercher un trésor s’arme de sa pelle, de sa poche, et en avant. Le voilà alors qui creuse aux abords des châteaux, des vieux arbres, des nécropoles. A Paris, il existe pourtant un trésor méconnu qui, au lieu de se terrer six pieds sous terre, s’étale… en haut d’un escalier. Mieux, ce trésor se trouve lui-même au sein d’un autre trésor trop longtemps ignoré : la tour Jean sans Peur. Attention, record ! Elle demeure à ce jour l’unique vestige de construction civile du moyen âge subsistant à Paris.
Nous sommes en 1407. Le roi Charles VI est atteint de folie. Qui pourra bien lui succéder ? Jean sans Peur, alors duc de Bourgogne, a trouvé une solution radicale. Il fait assassiner le frère du roi, le duc d’Orléans, et se retrouve maître de Paris. Tant pis si la guerre civile éclate aussitôt après la nouvelle répandue, entre les Bourguignons (partisans du duc de Bourgogne), et les Armagnacs (partisans du duc d’Orléans).
Jean sans Peur n’a que faire et gouverne depuis l’hôtel de Bourgogne à Paris. Quelque chose le gêne pourtant. Comme une sensation d’inachevé, un manque. Enfin, il a trouvé !
Quatre ans plus tard, en 1411, les parisiens découvrent la tour achevée que Jean sans peur vient de planter sur son hôtel, comme symbole de son pouvoir. Et pour cause : la tour domine l’hôtel de Bourgogne et sans doute, le tout Paris de l’époque.
Quant au trésor dans le trésor… Au sein de la tour, l’escalier d’honneur (un escalier à vis) s’enroule autour d’un tronc en pierre qui s’achève sur les branches d’un arbre pétrifié, taillé sur place. Un chef d’œuvre unique en France.

Un arbre ? Ou plutôt trois entrelacés : le houblon, symbole de Jean sans Peur. Le chêne, symbole de son père, Philippe le Hardi. L’aubépine, symbole de sa mère, Marguerite de Flandre.
Beaucoup d’efforts pour peu d’effets : en 1419, Jean sans Peur meurt assassiné par d’un coup de trop… un coup d’Armagnac, bien sûr.



Rue des jardins Saint-Paul, enceinte de Paris, monument classé:

Ave-Maria (rue de l') 15;Jardins-Saint-Paul (rue des) 6 , Jeu de paume de la Croix-Noire
L'enceinte construite entre 1190 et 1220 sous le règne de Philippe Auguste, était une véritable muraille comprenant un chemin de ronde, des créneaux, des portes fortifiées. D'une longueur de 2800 mètres sur la rive droite et de 2600 mètres sur la rive gauche, d'une épaisseur de 3 à 6 mètres à la base et d'une hauteur de 9 mètres, le rempart était protégé par une tour de 14 mètres de haut construite environ tous les 70 mètres. La défense de la partie Ouest était assurée par le Louvre féodal que Philippe Auguste financera sur sa cassette personnelle. La ville prendra en charge le coût de l'enceinte elle-même. Le rempart, très robuste, comprenait deux murs parallèles épais remplis de petites pierres et de mortier. Il servira d'assise aux constructions construites sur chacune de ses faces au fil des siècles, permettant de notables économies aux entrepreneurs. Emprisonnée entre deux maisons sur un large tronçon, la muraille sera ainsi préservée. La cinquantaine de mètres de murs et les vestiges des deux tours de la rue des Jardins Saint-Paul ont été mis à jour après la Deuxième Guerre mondiale. Rabelais, qui décédera dans cette rue en 1553, écrira "qu'une vache avec un pet en abattroit plus de six brasses".

L'enceinte, qui comprenait sans doute 33 tours sur la rive droite, étaient percé des six portes Baudet (rue Saint-Antoine), Vieilles-du-Temple, Saint-Martin, Saint-Denis, Saint-Honoré et à une dernière entre le Louvre et la Seine. L'ouvrage, construit sur le sol géologique de la ville, est aujourd'hui largement enterré. Il apparaît dans un parc souterrain de stationnement de la rue Mazarine, sur la rive gauche.



Eglise Sainte-Odile, monument classé:

Eglise Sainte-Odile: 2 Avenue Stéphane-Mallarmé Date de construction: 1935 Architecte: BARGE Jacques (architecte) ; LOUTIL Eugène (maître d'ouvrage) ; ROUX-COLAS Anne-Marie (sculpteur) ; SUBES Raymond (ferronnier) ; DECORCHEMONT François (maître verrier) ; LABOURET Auguste (maître verrier) ; BARRIOT Robert (décorateur)
L’église Sainte-Odile, monument historique, est connue de tous les Parisiens pour son clocher de 72 m de haut, le plus haut de la capitale. Initiée en 1935, sa construction est attachée à la personnalité de Monseigneur Eugène Loutil, dit Pierre l'Hermitte et du cardinal Verdier. Eglise en marge des chantiers du cardinal, elle est élevée grâce à la générosité des fidèles dans un quartier de la périphérie parisienne. Jacques Barge, alors âgé de 31 ans, conçoit un édifice à file de coupoles inspiré des églises romanes de l’ouest de la France et sans doute redevable à l’église du Saint-Esprit de Paul Tournon, son maître. La forme de la parcelle contraint l’architecte à opter pour un plan asymétrique : un côté de l’unique nef est flanqué de chapelles, l’autre est largement ouvert par trois baies ornées de vitraux de François Décorchemont, qui met en œuvre pour la première fois une technique personnelle de verre moulé liée au ciment. Pour l’église dédiée à sainte Odile, patronne de l’Alsace, l’architecte a utilisé un parement de grès alsacien sur l’ossature en béton. décor vitrail ; sculpture ; ferronnerie   propriété de la commune ; propriété d'une société privée depuis 2001/05/14. (c) Monuments historiques, 2001.



Ancien Cimetière de Picpus, monument classé:


Cimetière de Picpus et ancien couvent des chanoinesses de Picpus, date de construction XVIIe siècle ; XIXe siècle, il est devenu de nos jours le couvent des dames du Sacré-Coeur, 35, rue de Picpus, 75012 Paris.

Petite histoire: Le cimetière de Picpus se trouve à hauteur du 35 rue de Picpus, sur le terrain du couvent des Dames du Sacré-Cœur. Il est ouvert aujourd’hui à la visite. 1306 personnes décapitées pendant la Terreur (en juin-juillet 1794) y furent enterrées. Dans Le Loup-garou de Paris, on voit comment le couvent est accusé en 1871 de cacher des armes, des cadavres, des instruments de torture, etc. C’est ici qu’Aymar Galliez, oncle du loup-garou Bertrand Caillet, retrouve celui-ci en garde national déterrant des cadavres découverts dans la crypte de l’église.



Caserne des mousquetaires noirs, monument classé:


Caserne des Mousquetaires Noirs (ancienne) , dans l' actuel Hôpital des Quinze-Vingts (Centre d' Ophtalmologie) adresse, 26 rue de Charenton. Date de construction 1er quart 18e siècle année 1699 ; 1701. Architecte COTTE Robert de (maître de l'oeuvre)
BEAUSIRE le jeune (maître de l'oeuvre).   Propriété de la commune depuis 1976
© Monuments historiques, 1992.Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN.




Caserne Dauphine, monument classé:


Caserne des pompiers, 8 rue Mesnil, 75016, date de construction 2e quart XXe siècle année 1935. Architecte MALLET-STEVENS Robert (architecte)
MARTEL Jan (sculpteur)
MARTEL Joël (sculpteur)
Seule commande publique de l'architecte Rob Mallet-Stevens, et sa dernière oeuvre importante, la caserne des sapeurs-pompiers de Passy (dite caserne Dauphine) est construite de 1935 à 1937. C'est un équipement de quartier, le rez-de-chaussée comportant un garage pour trois camions, muni de portes basculantes à commande électrique. Le premier étage était affecté à des bureaux et des dortoirs, les étages supérieurs à des logements. L'ensemble, réalisé en béton armé, comprend aussi des terrasses et des cours d'entraînement ainsi qu'une tourelle d'escalier servant à la suspension des tuyaux. Les armes de la Ville de Paris au-dessus de l'entrée de la troupe sont sculptées par les frères Jan et Joël Martel. La caserne est toujours utilisée et a subi quelques modifications dans son aménagement intérieur.   propriété de la commune depuis 1986/01/22
© Monuments historiques, 1992.




Carrière souterraine du Port-Mahon, Site classé monument Historique:




Ancienne Abbaye du Port-Royal, monument classé:

Date de construction 2e quart XVIIe siècle, puis Hôpital Cochin.
Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN




La Sorbonne, monument classé:

Date de construction  XVIIe siècle ; XIXe siècle ; XXe siècle. Monument Historique.




Tombeau de Richelieu dans la Sorbonne:






Manufacture des Gobelins, monument classé:
Ancienne Manufacture des Gobelins:




Manufacture des Gobelins aujourd'hui:


Date de construction 2e moitié XVIIe siècle ; XVIIIe siècle ; 3e quart XIXe siècle ; 1er quart XXe siècle. Classé monument Historique.
Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN.

Vue d'une tapissière travaillant dans la manufacture:




Place de la Concorde, trophées de Guerre:




Tuileries, trophée de guerre, un Zeppelin:





Porte Saint-Denis, défilé de la Libération:




L'Arc de Triomphe au XIXe Siècle:




Arc de Triomphe, exposition du corps de Victor Hugo:




Dessin et plan de l'Arc de Triomphe:





Cimetière de l' Est dit cimetière du Père Lachaise: 
date de construction XIXe siècle ; 1er quart XXe siècle. monument classé.
Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN.






Remorqueur à vapeur sur le canal Saint-Martin:



Le canal St-Martin: date de la 2e moitié du XIXe siècle, il a été ouvert en 1825, puis en 1861 le canal est acheté par la ville de Paris et est géré depuis par le Service Municipal des Canaux. Les premières passerelles ont été édifiées vers 1860, suivies de trois passerelles métalliques vers 1890. Neuf écluses furent reconstruites vers 1870.   Propriété de la commune depuis le 1993. Inscrit aux MH l'ensemble, allant de la place Stalingrad (Paris 10e) à la place de la Bastille (Paris 11e) , ainsi que l' écluse dite de la Bastille, formé par le canal dans sa partie couverte et découverte (comprise entre les deux chaussées) , par les passerelles de la Douane, Bichat et de la Grange-aux-Belles avec son pont tournant, par les neuf écluses (dites de la Villette, des Morts, des Récollets, du Temple, de la Bastille).



Ancien château des Ternes




Caserne des mousquetaires noirs, monument classé:

Caserne des Mousquetaires Noirs (ancienne) , dans l' actuel Hôpital des Quinze-Vingts (Centre d' Ophtalmologie) adresse, 26 rue de Charenton. Date de construction 1er quart 18e siècle année 1699 ; 1701. Architecte COTTE Robert de (maître de l'oeuvre)
BEAUSIRE le jeune (maître de l'oeuvre). Propriété de la commune depuis 1976
© Monuments historiques, 1992.Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN.






Café, au vieux café, monument classé.





Barrière des Champs-Elysées:





Prebytère Saint-Sulpice, monument classé:

adresse 50 rue de Vaugirard époque de construction XVIIIe siècle. Propriété de la commune depuis le 1926.
© Monuments historiques, 1992. Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN





Rond-point de la défense en 1958.




Le jardin du Luxembourg.




Cour Royale du Louvre.






Cimetière du Montparnasse.





Bâtiments formant des lettres.





La gare du champ de Mars.




Cette gare a été construite en 1878 pour desservir l’Exposition Universelle qui devait se dérouler sur l’esplanade du Champ-de-Mars. Son architecte, Juste Lisch, est également l’auteur de la gare Saint-Lazare et de la gare des Invalides. La charpente métallique de la gare, les briques colorées, le jeu de tuiles plates vernissées et les ingéniosités techniques qu’elle met en jeux, la font apparaître dans l’encyclopédie d’architecture de 1878.

11 ans plus tard, pour l’Exposition Universelle de 1889, la tour Eiffel est édifiée juste derrière et la gare se retrouve au premier plan des affiches et des cartes postales diffusées à l’époque.




La transformation de paris au XIXe siècle au travers les gares parisiennes


https://gallica.bnf.fr/blog/06102022/batiments-en-mutation-les-gares-de-paris-au-xixe-siecle?mode=desktop