samedi 14 avril 2012

Le jardin Atlantique







Jouxtant le quartier Maine-Montparnasse, à fleur de la Tour, ce jardin suspendu, un
quadrilatère futuriste bordé de bâtiments à l'architecture année 60-80, 2000, à garder un message, une pensée, lorsqu'au début de cette France nouvelle, des visions ou des rêves mis en place, se sont imbriqués parmi un paysage parisien, qui, à cette époque-ci de la vie, jouait encore de ses petits métiers, des Halles de Paris, des guinguettes et des fleurs aux regards subtils et non moins aguichantes...


Là, tout près, Ricardo Bofill par sa vision humaine et architecturale, à construit la place de la Catalogne, la Place de Séoul, ainsi que d'autres sites en Ile-de-France, tels « Le Belvédère Saint-Christophe» à Cergy-Pontoise, « Les Arcades du Lac » à Saint-Quentin-en-Yvelines, « Les espaces d'Abraxas à Noisy-le-Grand (Marne-la-Vallée), etc..., pour ne citer qu'eux...
Ricardo Bofill convit toujours notre regard à venir flirter avec les grands piliers de la France, l'Architecture Médiévale.


 Non loin d'un regard royal, Paris vit, Paris bouge, s'agrandit, se métamorphose dans cette mouvance conceptuelle que le temps nous fait vivre, sentir, bouger... L'aube d'un monde exagérément moins soutenu nous est surement passé, le temps se promène, nous laisse pantois, quand à l'Automne d'une vision ou d'un projet nouveau, une architecture, une pensée, un idéal, vient là fleurir, construire, étendre la ville et son regard nouveau....
Ce jardin suspendu, le jardin Atlantique, construit par François Brun et Michel Piéna, nous emmène aux portes des grandes villes Francilienne, au fin fond d'un monde imaginaire, que le temps, que l'homme à su garder précieusement... 

L'imaginaire côtoie ainsi le charme, quand là-bas, au beau milieu du quartier latin, un entrelac de bâtiments 17, 18, 19ième, vivent là dignement à deux pas de la Seine qui offre son regard et sa beauté charnelle à qui l'observe, l'aguiche...
C'est là et c'est bien là que Paris peut s'énorgueillir d'avoir su et pu juxtaposer, peindre mille et un tableaux, mille et une facettes d'une ville, de l'homme aussi, qui, au fin fond de lui-même, malgré et parfois quelques conflits, structure à la Française, un goût, un charme certain que nul autre pays, même les plus riches du monde, ne pourront féconder.... 

Un regard royal nous rappelle, nous appelle à garder un chemin, une vision, une pensée enracinée, dessinée depuis des lustres maintenant, elle est une garante même si, les pensées des hommes actuels se dirigent vers le futur...
 Là, à Montparnasse, dans ce jardin suspendu, ces longs bâtiments bleuté aux liserets gris-clair, nous rappellent, nous emmènent vers un milieu dédié au travail de la tête, aux pensées entreprenantes que la vie, que le monde à fait éclorent aux abords et dans nos villes modernes... Un peu plus loin et perpendiculairement, de longs bâtiments années 60-80, nous convis vers un autre regard, plus « brut », plus modeste, leurs modes et leurs pensées ont menés l'homme vers ce qu'il est, ce qu'il pense... Ces deux foulées de bâtiments entourant là ce jardin, communiquent entre eux, un temps les sépare, un temps les rejoint....



*


Le jardin Atlantique

Ricardo Bofill

Quartier Maine-Montparnasse

Des images prises sur google du jardin Atlantique :




















jeudi 5 avril 2012

Les escaliers à Paris...





































Les escaliers, montant, descendant vers des rues, des sentiers si rustiques, au fin fond desquels un angle vient entre-caché une petite place à moitié là vêtue, qui se dessine, se projette sans que l'ombre d'une pensée, d'un dessein clair-obscur ne vienne perturber... Là, à la nuit tombante, les escaliers se fondent dans Paris, se Paris si charmant, si unique, si entrecoupé de bonheur et de rêves...

Là, seul, menant en haut, d'une tour, d'un mont, d'une butte autour de laquelle une flopée entière de cafés et de minaudières sont nichés au cœur même d'un village que nul ne peut ignorer, oublier ou éteindre. Les escaliers parisiens nous emmènent, nous font jaillir de longs flots si typique, si connus, méconnus... Là, jouxtant un endroit souvent paisible aux abords des lampadaires vêtus de leurs jaune-orangée, ils nous convis au cœur de la ville, d'endroits, qui, en une foule d'images et de liens si présents nous entrainent ailleurs...




*













Les Places de Paris


















Les places, les grandes places «Napoléonienne», dirai-je, aux allures chevaleresques que le Monde découvre, à su découvrir et découvrira encore et encore, appellent le promeneur, le touriste à venir là s'asseoir sur un banc, sur le bord d'une fontaine tout en profitant quand une fontaine crache là sa noblesse, sa foi, non loin des bâtiments si distinctifs de Paris, de cette ville aux mille desseins... Que serait Paris sans ses places, sans ses blasons dorés que le temps à fait naître, jaillir, tout comme l'eau qu'elles déversent au cours d'une journée.... Les places, et les fontaines d'ailleurs, ont su et savent encore nous ravir, nous tourner bien des pages que le temps à marqué de son dogme «chaleureux», de sa pensée profonde et au combien culturelle et charnelle.....




*








Guide de paris téléchargeable, imprimable...