dimanche 20 novembre 2011

Paris, les bâtiments.....



























Les dômes, les façades, Néo-classique, Néo-renaissance, Renaissance, de chaux, de briques, de Pierre, cosmopolite, d'ornements figuratifs, de sculptures, de balcons, ou..., plus simplement à demi-vierge de toutes "illustrations", les façades des bâtiments parisiens dévoilent chacune leurs charmes, leurs douceurs, leurs éclats, même si, parfois, là caché entre deux édifices, elles laissent entrevoir un charme d'antan, un peu lissé par le temps.
 Mais elles sont là et présentent toujours leurs attraits, leurs écris, qui, au fil des siècles, des ans, ont pus faire connaître, dévoiler bien des secrets que leurs images en une première vue, ne suscitent pas, ou presque pas, une lecture historique....

Cette image qui est là, si présente, si belle, ravive bien des choses, des allures, des siècles, des virages historique, classique, que le temps à bâtit, que le temps à forgé, composé, qui a et qui révèle encore ses facettes, sa composition florale....

Aujourd'hui, l'architecture d'habitation, celle qui a été construite au siècle dernier, se marie bien à Paris, très bien même, parfois l'on pourrait presque imaginer un bâtiment d'un seul tenant, quand une habitation jouxte un bâtiment industriel!...








A Paris, en ce 19e Siècle, début 20e, la ville et la vie industrielle n'a pas pu faire perdurer un beau couple, une orientation habitat/industrie et humaine en un tenant même, la ville! Le développement économique en a décidé autrement et a amené les élus, les investisseurs, les entreprises à choisir d'autres voies plus pratiques, les terrains jouxtant Paris, ceux du Nord principalement. L'architecture quand à elle a suivie, comme à son accoutumé, cet engouement, cette croisade, les architectes ont vus et ont su et savent encore bâtir de grands et esthétiques ensembles, complexe tels les Halles de Paris, l'abattoir de La Vilette ou, à son opposé l'abattoir à chevaux de Vaugirard, des usines, des entrepôts, bref ce qui fit la vie à cette époque et ce qui fait la vie aujourd'hui. Epoque en laquelle l'ouvrier travaillait durement, savait démontrer son savoir-faire.... Un peu plus qu'à présent dirons-nous, ou en cette époque, au 21e siècle, la ville est plus cosmopolite,  l'industrialisation à permis bien des choses, notamment un apport technique indispensable (machines), un apport théorique, un apport pratique, mais aussi à supprimer le coté charnelle d'un meuble, d'un bâtiment, ce coté un peu plus travaillé... Mais faut-il mieux pouvoir avoir accès à tout pour tout à chacun plutôt qu'autre chose?... L'architecture se dévoile autrement, se regarde un peu plus simplement (dans le sens technique), plus "gaiement" dirons nous. Elle nous laisse aussi des traces, des rêves, des chemins qui conduisent aussi vers des bâtiments plus structurés, plus créatif, 
mieux pensés.....




































































































































Quelques liens.....



http://www.paris.fr/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Paris

http://fr.wikipedia.org/wiki/Architecture

http://www.archi-guide.com/

samedi 12 novembre 2011

Les maisons de ville.....

























La Défense en 1950









Là, à Courbevoie, non loin des tours de verre et d'acier construites depuis le début - milieu des années 1960, les maisons de ville si typique d'une partie de l'habitat de banlieue dévoilent leurs charmes d'antan, leurs cotés pittoresques, qui, des années durant sont venus là construirent un bourg, un village. Elles virent la naissance et l'évolution de cette partie de terrain, qui en 1950, était encore vierge de toute construction, seul le CNIT se montrait timidement en 1958...

A présent il est possible de matérialiser cette différence architecturale aux pieds des tours, là, à quelques mètres et d'entrevoir encore quelques volées de cette partie de la ville que fût Courbevoie... Courbevoie qui accueillait, des champs, de longs espaces de verdure, de paysage qu'une génération entière n'a pas connue ainsi...
Courbevoie à vu naître des Tours, des bâtiments plus contemporains construits durant les 30 glorieuse, des "barres", et, plus proche de nous, une floppée de bâtiments de bureaux et d'habitations aux allures plus futuristes...















Ces maisons de villes construites il y a quelques décennies maintenant, en chaux, en brique, en pierre, laissent là un charme ancien à la ville qui se distingue aussi par elles, par cet engouement de sentiments qui s'infiltrent ça et là le long des rues, des faubourgs, des boulevards, comme-ci un message traditionaliste se dispersait ça et là aux pieds même des bâtiments moderne...
Paris en est aussi bâties, plus champêtre, plus bourgeoise qu'en banlieue, elles laissent échapper mille sentiments, qui viennent, un à un, nous rappeler une époque, un paysage aussi puisqu'elles nous dévoilent là, aux portes de Paris ou au centre même, une essence provincial de charme qui fait que notre pays détient un capital, une mémoire qui lui est propre...
Maison rue Ernest Lacoste

A Paris, il est possible d'en voir Rue Ernest Lacoste, rue située dans le 12e arrondissement, proche de la Porte Dorée.
A Vanves, prendre à gauche en sortant de la gare.
A Courbevoie, derrière le CNIT.
A Paris dans le 15e

A Paris dans le 4e

Un peu partout....















samedi 2 juillet 2011

L'architecture Noiselienne, Francilienne.....


La chocolaterie Menier














Non loin d'un lac, des maisonnées de Briques 19e jouxtant les rues fleuries, laissent échapper ici l'humilité, la modestie, qui en un clin d’œil à peine se projettent vers les terres des corons....

Là, des façades décorées en L aux abords desquelles un chevauchement de petites fenêtres et de parties cubistes, viennent à quelques pas de là éclairer une large allée verdoyante qui mène gentiment vers la ville.

De loin, ces deux L inversés formeraient presque un T s'ils n'avaient été entrecoupés de fenêtres que les rayons du soleil éclairent sans mesure donnant là à ce corps toute sa fluidité. Un peu plus loin, de larges bâtiments aux allures 19e, une façade ocre finement rayée de longs liserets marron, éclairent notre regard vers un beau et grand monument de la ville, la chocolaterie Menier!



Noisiel, Lognes sont aussi là jonchées de petits bâtiments aux allures 80, de petites maisonnées blanche et bleuté vêtues d'une toiture en Zinc formant un ballonnement.
Enchemisé d'une architecture atypique, des bâtiments modernes s'affichent ici et là, non loin, à deux pas, qu'un style contemporain vient là rivaliser, voir même subjuguer....

L'architecture Noiselienne concentre en une longue parcelle de terre un long et beau dessein architectural que le temps à dépeint durant des décennies entières...
Fabriqué en région Francilienne, de 70 à 2000, ces bâtiments entiers dessinent là sous nos yeux de grandes lignes architecturales de la proche banlieue... Hormis certaines réalisations qui font naître à elles seules un style différent emprunté cette fois-ci à notre chère province, l'architecture Francilienne montre là en tout sens une multitude de facettes, de richesses que le temps à forgé..
La province et son architecture, si riche elle aussi et au demeurant plus modeste, mais qui génère de très belles réussites, je pense là au Perche, à la Normandie, aux régions, à ces longs corps de ferme, aux châteaux, aux châteaux-forts, monuments et logis que de longs corps de pierre construis et posés là en traversant un fleuve que trois quatre travées d'arche peuvent franchir sans effort, laissent là en nos sens de longs souvenirs indélébiles...





Si belle, si riche, si féconde de tout bord, l'architecture Française qui se montre en tout sens, dévoile ainsi au monde toute sa diversité, sa richesse et son foisonnement historique que seul nous Français pouvons ainsi nommer, reconnaître et comprendre...
Les châteaux à eux seuls, qu'ils soient privés ou historique, nous convis vers un long voyage, vers de longs temps de romance et de beautés mêlées, au travers desquels, sans un mot, sans un bruit, hormis les sens immatériels du vent, de la faune, de la flore, des cris et des appels, des voûtes et des croisées, qui dessinent à elles seules des liserets romantique....
Ceux-ci se posent là, à l'orée d'une forêt, d'une ville, d'un vallon ou d'une plaine, qui dessinée et parsemée parfois de larges étendues d'eau qui firent en des temps naître un décor princier aux pieds même des châteaux, peignent ici des quatrains poétiques aux allures champêtre, royaliste, littéraire qui, en un élan de candeur, tourbillonnent vivement et viennent batifoler au milieu de nos sens les plus fragiles et les plus profonds......




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